Alors que je marchais vite dans la rue
Louis Philippe était là, et il m’a vu
Que cherches-tu ?  m’a t-il dit
Tu sembles si pressé, mon ami
Oh ! A toi, je te le dis de bon cœur
Je vais partout, cherchant le bonheur
J’avais hélas ! pensé l’avoir trouvé
Faut croire que j’avais mal regardé
Toi Louis Philippe, si tu le savais
Me dirais-tu où je le trouverais
Je me sens alors si fatigué
Et je ne sais plus où le chercher

Mais, mon ami, tu es passé à côté
Il te regardait, l’air désespéré
Il vivait chez toi depuis longtemps
Mais le voir tu ne prenais pas le temps
Il était toujours omniprésent
T’écoutant, te regardant
Toi tu regardais ailleurs
Tu as toujours été rêveur
Tu sais, le bonheur prend peu de place
Il n’aime pas trop les grands espaces
Il est toujours là où que tu sois
Toujours prêt à t’ouvrir les bras
Tu n’as qu’à cultiver ta confiance
Essaie de te sentir plein d’assurance
Un jour tu seras content de tes efforts
Pour lui il n’est jamais trop tard
Tu lui souriras alors, c’est certain
Et tu n’auras plus jamais peur du lendemain
Dans ton cœur tu sentiras la chaleur
C’est qu’enfin tu auras trouvé le bonheur.

Claude Marcel Breault

 Des nouvelles de Yacine

Il mêne toujours son combat courageusement comme sa Maman.

Des nodules sont réapparus il faut encore une fois opérer.

La radio thérapie n'a pas encore été faite ,il n'ont pas la chance comme nous en europe pour les soins de santé.

Mais le courage et l'optimisme est au rendez-vous.

Zou vous embrasse très fort avec toute son amitié qui l'a caractérise.

Pascal